Rituels
Toulouse - L'Union

Imbolc, fête celtique du renouveau, oubliée et remplacée par la chandeleur. 

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C'est le point de départ de la reprise des travaux au jardin. On se prépare à la nouvelle année, on affute nos outils. On commence à réfléchir à ce qu’on va semer une fois le printemps bien installé.

C’est le grand nettoyage avant l’arrivée du printemps. Nous sommes dans une énergie de purification, tout ce blanc nous y invite totalement. On en profite aussi pour faire son ménage intérieur et nous aussi renaitre à nous même en quelque sorte. C’est le temps de l’introspection.

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Le perce neige, cette petite fleur délicate symbolise Imbolc. Elle annonce le renouveau à venir. On commence à sentir les premiers frémissements du printemps, les jours rallongent.

Nous sommes toujours en hiver, mais la promesse du printemps est là.

Le mot "équinoxe", selon ses racines latines, signifie “égalité du jour et de la nuit”. Et celui du printemps marque le retour de la lumière : dès le lendemain, il fera plus jour que nuit.

L'équinoxe de mars est un moment très significatif dans de nombreuses cultures et pratiques. Après la fin de l'hiver, l'équinoxe marque le retour de la lumière qui amène des jours plus longs, de nouvelles récoltes, et une remise à zéro en termes de fertilité. Nous nous harmonisons à cette énergie et sortons de notre cocon pour planter les graines d'un nouveau départ. 

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Toujours selon cette idée de nouveau départ, l’équinoxe du printemps est l’occasion de faire table rase des pensées qui encombraient jusqu’alors notre esprit, pour se projeter dans l’après. Et le signe du Bélier, dont la saison commence justement avec cet équinoxe, pousse tout un chacun à faire de nouveaux projets, à rêver, à écouter ses aspirations intimes et à sortir de sa zone de confort. 

C’est le moment idéal pour anticiper les changements que vous voulez voir dans votre vie, psychologiques ou matériels. Anticiper les changements qui ont été "plantés" pendant la période d'introversion de l'Hiver, et qui sortiront de terre et seront éclaboussés de Soleil d'ici l'arrivée de l'Eté. 

Dans la tradition celtique, le jour de "Beltane" célèbre la lumière par l’énergie du feu et la fertilité. Fête de la Vie et des Vivants, Beltane ouvre la porte de la saison claire, prête à accueillir l’abondance et le renouveau.

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C'est le sabbat opposé à Samhain, il représente le sexe et la fertilité, Samhain la mort.

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Dans le calendrier celtique, Beltane correspond au passage vers la moitié lumineuse de l’année et annonce un changement de rythme de vie qui se tourne désormais davantage vers les activités extérieures. « Bel » signifie « brillant » et évoque Belenos et Belisama, le couple brillant de Dieux gaulois, symbole de jeunesse, soleil et feu. « Teine » signifie « feu ».

Un rituel essentiel était effectué par les druides : ils allumaient des feux, les feux de Bel, prononçaient des incantations magiques et faisaient passer les troupeaux entre ces feux sacrés purificateurs en vue de les protéger pour tout le cycle de l’année.

En astronomie, cet évènement correspond au moment de l'année où le Soleil monte au plus haut dans le ciel et éclaire pendant une durée maximale l'un des deux hémisphères: c'est donc le jour le plus le long de l'année. D'un point de vue énergétique, c'est la période propice pour porter un regard neuf et constructif sur l’avenir.

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La montée vibratoire est en cours. Elle libère la force pure et brute de nos origines galactiques inscrites dans le noyau cristallin de la Terre et de chaque être vivant. Une grande vague d’énergie créatrice explose dans le subtil. Nous assistons au réveil et au déploiement de la conscience cristalline. Les cœurs sont en joie et difficile d’arrêter ce monstre d’amour qu’est le collectif. Ces ondes cristallines amènent un pur rafraîchissement dans l’esprit, le système de croyances, de tout ce qui découle des pensées, c'est-à-dire dans les paroles comme les actes.

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Confusion et incompréhension peuvent remonter depuis l’inconscient mais cela fait partie du processus de dissolution. Tout ce qui vibre en dysharmonie avec cet ordre universel fond comme une matière inorganique que l’univers, qui n’est qu’amour, ne reconnaît pas.

Le sabbat de Lughnasadh (ou Lammas) est l’un des sabbats majeurs de la roue de l’année.  

Lughasadh est la première des 3 célébrations d’automne. Il est généralement célébré du 31 juillet au 01er août et marque le début de la saison des récoltes, au sens littéral mais aussi de nos récoltes intérieure et personnelle. 

C’est un moment de gratitude, de croissance et de renouveau. L'énergie et les intentions de Lammas sont présentes dans notre vie quotidienne. 

Nous commençons à récolter les fruits de notre travail et des intentions que nous avons posées. Booster par l’énergie du Lion, c’est le moment de rassembler nos forces et nous tourner vers l’énergie du soleil pour nous inspirer, nous protéger et protéger nos proches.

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Ça y est, Mère Nature oublie le soleil et la chaleur pour laisser place à la citrouille et aux paysages rouges.

Le soleil traverse le plan de l’équateur terrestre, il est donc à son zénith. Le jour et la nuit auront quasiment la même durée comme lors de l’équinoxe de printemps.

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L’équinoxe d'Automne peut être une période d’émotions diverses. D’une part, il représente l’abondance et la récolte, il est donc temps de célébrer tout ce que vous avez accompli en ce début d’année. Il marque notre arrivée vers les temps plus rigoureux de l’hiver et les journées plus courtes.

Cette période de l’année est liée à la « récolte », la récolte du fruit de notre travail. Parallèlement, cela amène à un allongement des nuits et ça sera le moment de reprendre de l’énergie ainsi que de se ressourcer. 

Après l’équinoxe, les journées raccourciront et les nuits seront plus longues jusqu’à ce que nous atteignions le solstice d’hiver en décembre qui marquera la nuit la plus longue de l’année.

Depuis l’Antiquité, la signification spirituelle d’Halloween, ou comme on l’appelait à l’origine, Samhain, a été de célébrer l’entrée de l’hiver avec le raccourcissement et le refroidissement des jours.

Cette fête marque la fin d’un cycle et le début d’un autre. Samhain vous demande d’aller vers l’intérieur, de faire face à votre propre ombre. La lumière et la joie de l’été sont terminées et il est maintenant temps de récupérer et de restaurer votre énergie pour les mois sombres à venir jusqu’au retour de jours plus ensoleillés et plus chauds.

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Samhain vous invite à honorer la dualité du monde naturel et accueillir l’ obscurité (l’inconnu, la régénération, l’immobilité, l’énergie réceptive) autant que la lumière (le connu, la vie, l’action, l’énergie dirigée vers l’extérieur).

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C'est aussi l'achèvement d'un cycle de la roue de l'année. C'est la mort avant la renaissance, le moment de faire un point sur l'année écoulée, sur ce que l'on veut conserver ou pas.

Comme ces êtres puissants dont la force de résilience est exemplaire, nous avons, nous aussi, besoin de temps de mise en retrait, de retour en nous-mêmes. Ces moments de « non-agir » sont féconds et créateurs, car ils permettent de puiser dans nos racines intérieures la force sans laquelle nous épuiserions notre énergie.

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Prenons donc cette période de courtes journées pour une chance, celle de revenir en soi-même et d’apprendre à y être bien. C’est à cette condition et en se centrant sur son axe terre-ciel intérieur, que nous pouvons offrir au monde notre parfum individuel unique, avec lequel il nous faut d’abord apprendre à nous familiariser.

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Le solstice d’hiver est annonciateur d’une nouvelle année. Chez les Amérindiens, cette nuit, la plus longue de l’année, symbolise le passage de l’ombre à la lumière.

Alors ne cherchons pas à nier ce qui est, ni à contrecarrer l’influence du rythme de la nature sur notre fonctionnement physiologique. Ne voyons pas la saison froide et gagnée par la nuit comme une manière de nous isoler du monde, mais au contraire, comme un moyen de nous préparer au renouveau, en laissant mûrir lentement les projets.

Viendra le temps où nous cueillerons les fruits de ce que nous avons semé maintenant dans notre terre intérieure.